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 Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg

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margot10

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Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg Empty
MessageSujet: Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg   Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg EmptyJeu 29 Oct - 18:10

Durant la grossesse, j’avait été particulièrement dynamique, et au cours du rendez vous du 8ème mois avec la gynécologue, cette dernière m’avait diagnostiqué un col en train de raccourcir, et m’avait demandé d’essayer de ne plus sortir (surtout pas pour marcher !) durant 3 semaines, jusqu’à ce que le seuil de prématurité soit passé. J’ai passé ces trois semaines à bouillir intérieurement parce que je n’avais plus le droit d’être active, et extérieurement parce que nous étions en août 2003 (vous vous souvenez, l’année de la canicule… ?). J’en avais assez d’être enceinte et grosse.
Au bout de ces trois semaines j’ai eu mon rendez vous de surveillance de grossesse à la maternité. Au final, la sage-femme m’a dit : « Tout va bien, votre bébé est prêt, à partir de maintenant il peut sortir quand il veut ! »… Moi qui avait déjà fait quelques « faux travails », ce n’était pas tombée dans l’oreille d’une sourde…
J’ai attendu le lendemain soir que mon homme soit sorti. Et j’ai fait toute seule ma petite séance de gym pour déclencher mon accouchement. J’ai sautillé un peu partout dans tous l’appart pendant un quart d’heure, et si des voisins m’ont vue par la fenêtre ce soir là ils ont dû me prendre pour une folle. Ensuite je me suis affalée, totalement épuisée, sur le canapé, j’ai eu quelques contractiounettes, et voilà.
Avec le recul, OK je n’ai rien fait de particulièrement aberrant, mais bon, décider à la place du bébé du jour où il doit naître je trouve ça moyen. Enfin, je n’étouffe pas sous les regrets, un bébé qui ne veut pas sortir ne sort pas naturellement !!!
Je me suis réveillée en sursaut à 3heure du matin parce que je pensais être en train de faire pipi au lit !!! Et une fois debout je n’arrivais pas à arrêter le flot !!! J’ai mis un petit temps à réaliser que j’étais en train de perdre les eaux, et que ça n’y allait que petit à petit puisque la tête de mon bébé, très basse, faisait bouchon.
Mon homme et moi nous sommes levés, nous avons pris chacun une douche, nous avons terminé de faire le sac, et nous sommes partis pour la maternité, calmement. J’avais quelques contractions qui ressemblaient pour moi à mes contractions de faux travail : pas douloureuses mais là, et irrégulières.

Nous avons sonné aux urgences maternité… La sage femme est arrivée : « Ouiii, c’est pour quoi ???
-C’est pour une perte des eaux…
Après les formalité, un petit examen gynécologique et une distribution de GROSSES serviettes hygiéniques pour les eaux qui continuaient de couler, on a fait un petit tour de monitoring. J’étais fatiguée, il devait être 3h30 ou 4h, je m’endormais à moitié, les contractions n’étaient pas assez fortes encore pour m’obliger à changer de position. Le lit était confortable…
J’ai demandé à boire mais on ne m’a autorisé qu’un verre d’eau. Si j’avais su autrefois que ce n’était qu’une question de protocole, j’en aurais largement profité pour boire une fois seule !!! Je n’avais pas bu à la maison (pas soif juste au réveil), n’imaginant pas qu’on m’interdirait la boisson pour un simple accouchement !
Comme tout allait bien, les sages-femmes m’ont donné une bouteille pour un lavement et m’ont mise dans ma chambre de maternité. Et puis elles nous ont laissé seuls, nous indiquant la direction des salles d’accouchement pour quand nous en aurions besoin. Nous avons rangé mes petites affaires, je me suis fait un lavement (le moment le plus glamour de l’accouchement !!), et puis on a papoté en attendant que les contractions s’intensifient. Je cherchais mes positions, en fait j’en essayais beaucoup « juste pour voir » alors que les contractions n’étaient pas encore assez douloureuses pour me contraindre dans LA position. En fait, au fur et à mesure que la douleur a augmenté, ce qui me convenait le mieux était de m’appuyer contre un mur et de piétiner pour balancer mon bassin de gauche à droite.
J’ai demandé au bout d’un moment à aller en salle d’accouchement. Je pouvais encore « gérer seule », mais la perspective de la route à faire (2 couloirs peut être ?) me faisait peur.
En fait, je ne m’en étais pas rendue compte, mais nous étions restés très longtemps seuls à faire avancer le travail. Quand nous nous sommes présentés en salle d’accouchement, la sage-femme nous a dit que ça faisait un bon moment qu’elle nous attendait. Et puis mon homme m’a laissé à ses bons soins pour aller téléphoner à son travail et dire qu’il ne pourrait pas venir aujourd’hui. J’en déduis donc qu’il devait être environ 8h…

Pendant que la sage-femme préparait tout, je me sentais vaguement ridicule…
-Excusez-moi, mais j’ai besoin de piétiner…
-Mais allez-y, piétinez…
J’ai dû enfiler leur blouse à ce moment là ?… Je ne sais plus du tout. Je me suis baladée par la suite sans souci de pudeur pourtant… Peut-être que ma pudeur, je l’avais laissée dans les poches de mon pantalon sur la chaise ? La sage-femme m’a installé pour un monitoring d’une demi-heure, en me laissant la possibilité de me lever, de me coucher, de m’accroupir dans la limite des fils. Je ne crois pas qu’elle m’ait ausculté puisque aucune donnée de dilatation n’a été énoncée.
Quand est ce que mon homme est revenu ?? Je lui ai demandé de me tendre un récipient quelconque par ce que j’avais des nausées… Je n’ai tout compte fait pas vomi.
Et puis la sage-femme est rapidement partie après m’avoir posé le monitoring, le changement d’équipe a eu lieu. Ca m’a un peu angoissée de changer de personnel en cours de route, mais en fin de compte c’était tant mieux : j’ai eu droit à une sage-femme fraîche et reposée, qui entamait sa journée. J’étais en plus le seul accouchement du moment. Du grand luxe !!!
-Vous voulez une péridurale ?
-Non, ça va.
Elle était accompagnée d’une stagiaire adorable que j’ai bien sûr acceptée. Cette stagiaire a eu l’air tout impressionnée tout du long, je me suis demandée si ce n’était pas son premier accouchement. Elle a été en tout cas admirable de discrétion et de gentillesse.
Une fois le monitoring enlevé on m’a laissé sortir de la pièce et me promener avec mon homme. J’ai marché parce que je savais que c’était conseillé, mais en fait je n’en avais plus besoin : j’avais mal, le travail était vraiment parti pour de bon et chaque contraction me clouait au sol, à genoux. Je suis allée jusqu’aux toilettes, décidée à faire un dernier pipi. Et la position tellement physiologique d’être sur les toilettes, puisqu’elle favorise l’ouverture du bassin, je l’ai bien sentie passer ! La contraction que j’ai eue dans les tout petits WC, la tête contre la porte, m’a pétrifiée de douleur. Et mon homme qui me demandait à travers la cloison : « Margot, ça va, CA VA ??? ». Quand je suis sortie pour me passer un peu d’eau sur le visage, la sage-femme est venue me rejoindre :
-Est ce que vous voulez demander une péridurale ?
-Non. (Je crois que j’avais du mal à parler, à voir, à sortir de moi pour voir les autres)
-Vous dites que vous ne voulez pas parce que vous n’en voulez pas encore, ou parce que vous n’en voulez pas du tout ?
-Je n’en veux pas du tout.
-En tout cas bravo, c’est bien, vous gérez très bien votre douleur.
La question de la péridurale n’a plus été posée ensuite.

Je suis retournée en salle. La stagiaire m’a proposé un ballon. Va pour le ballon. Je me suis assise dessus et me suis tout de suite relevée : là aussi les contractions étaient décuplées, bien plus douloureuses. Très bien pour le bassin des femmes dont le travail à du mal à avancer !

Après, tout devient flou, j’étais vraiment dans ma bulle, tout en dedans de moi. Je voyais flou. J’étais à genoux, appuyée sur une chaise que la stagiaire avait garnie avec un coussin. J’entendais les sages femmes rire et papoter dans la salle à côté. Je ne pensais plus à rien. Je gémissais avec les contractions.
J’ai parfois perdu pied. Je bloquais ma respiration pendant les contractions, sous l’effet de la douleur. « Il faut respirer, pensez à votre bébé » Lâchez moi la grappe, j’y arrive pas ! Et puis j’ai respiré. Trop. J’aspirais et j’aspirais et j’aspirais de l’air dans mes poumons déjà plein, et je n’avais plus d’oxygène. « Il n’y a plus assez d’air, j’ai besoin d’air !!! ». La stagiaire me regardait, désemparée. Personne pour me soulager. Mon homme au fond de la salle. Pourquoi ne m’a-t-on pas dit de souuuuuuuuffler… avant de pouvoir reprendre ce fameux air ?
J’étais comme un lion en cage. Je changeais souvent de position, mais plus aucune ne me permettait plus d’échapper à la douleur.
Je sentais que ça descendait, la tête, mon bébé, sur mes dernières vertèbres, très fort, très lentement aussi. Je commençais à serrer mes abdos pour « aider » la contraction, ça faisait du bien. La sage-femme me regardait du coin de l’œil, je crois qu’elle préparait tout pour le stade final qu’elle sentait venir…

Elle m’a proposé de venir sur la chaise d’accouchement, voyant que je commençais à pousser de façon inconsciente (là aussi elle ne m’a pas examinée : je pense que mon degré de dilatation se lisait littéralement sur mon visage). Et là, pour moi ça n’allait plus trop : « Non, on peut pas tout arrêter et revenir terminer ça demain ? » J’en avais marre. Fatiguée. Je rigolais aussi, je savais que ce n’était pas possible de tout plaquer là.
Comment est ce que j’ai atterri sur cette chaise ? J’ai dû monter toute seule.
Et on m’a réinstallé le monito. Pourriture de monito, je n’avais pas besoin de ça à cet instant, j’avais mal au ventre et pas envie du tout qu’on y mette des sangles. Et pour voir quoi en plus ? Que j’avais des contractions ? Bonne nouvelle, tiens… Pour surveiller le cœur du bébé ? Ben, je me tortillais, bébé aussi, et on n’a pas capté son cœur la moitié du temps (l’autre moitié c’était une de mes veines à moi ou alors rien du tout)…
Le pompon, on m’a mis une perf’. Là j’ai réagi, j’avais peur qu’on m’injecte des choses à mon insu. La sage femme n’a entrepris la pose qu’après m’avoir assuré de ne rien m’injecter qu’après m’avoir demandé mon avis. Et effectivement, j’avais vraiment besoin d’être réhydratée, j’avais eu une de ces SOIF !!!
« Mais euh, non, pas comme ça, c’est possible d’être plus assise ?
-Euh… Bon, d’accord, je vous mets assise, mais vous prenez vos genoux et vous tirez bien dessus pour que je puisse bien voir, comme ça, d’accord ?
Je me suis assise comme une grenouille, quasi accroupie, et… Non, pas possible pour le coup des genoux, moi j’avais besoin de m’accrocher à des trucs en l’air !! Un genou pour la stagiaire, l’autre pour mon homme, hop ! Quoi mon homme ? Zut, j’étais assise, avec une vue plongeante sur mon périnée, et donc lui aussi… Et dans mon imagination ce n’était pas comme ça… Et j’avais envie de pousser, arrivais pas à réfléchir…
Et puis en fait je suis très contente qu’il ait vu son bébé naître !

Et puis j’ai poussé. Les contractions n’étaient plus douloureuses, mais mince de mince ça brûlait, ça déchirait, j’avais l’impression de m’ouvrir en deux… Mon homme était au bord des larmes. « Margot, je t’aime ». Je me voyais m’ouvrir… « J’ai maaaaal ! J’ai mal!” La tête apparaissait, il fallait pousser malgré la douleur. Et puis la tête est sortie. Moment de calme… Et mon bébé s’est tourné, mis de profil, où avait-il appris à faire ça, pour faire passer ses épaules… J’ai encore poussé, la sage-femme a crié : « Prenez-le, prenez-le ! ». Oui, mais moi je m’accrochais partout en l’air, je ne pouvais pas tendre les bras, et surtout pas pour attraper un poids de 3kg environ ! La sage-femme a vite retiré ma blouse et a mis le bébé tout nu contre moi, tout de suite. Un petit, un beau petit bébé…
Recroquevillé, calme après avoir poussé un premier cri... La sage femme s’est approchée : « Et regardez… » Elle a déplié les jambes, c’était un petit garçon… Un tout petit Simon…
10h20.

Mon homme a coupé le cordon un peu plus tard.

J’ai senti la sage-femme légèrement tirer sur le cordon et le placenta est sorti d’un coup. « Mais je n’ai pas eu de contraction !
-Si, bien sûr, mais si faibles après celles de tout à l’heure… »
Il y avait deux petites déchirures qu’il fallait recoudre. La sage femme fera ça plus tard, sous anesthésie locale.

On fait un essai pour mettre Simon au sein. Une puéricultrice sortie on ne sait d’où « pour aider » est là. Je n’aime pas cette intrusion. La sage-femme et la stagiaire ont été là tout le temps et m’ont bien aidée, elles, je ne vois pas pourquoi on aurait ici besoin de Mme Truchmuque. Elle prend le mamelon, le triture, le fourre dans la bouche de mon fils… Il avale une ou deux fois. Il n’en veut pas plus, pas pour l'instant.





Rupture.
On me prend Simon. On l’emmène dans la pièce d’à côté. Je l’entends hurler. Hurler. Hurler. Il a eu droit au package torture complet je crois.
Le revoilà, habillé. Il reconnait la voix de son père qui le prend dans ses bras, et s’endort immédiatement.

POURQUOI A-T-ON-FAIT-CA ?
Mon bébé. Qui allait bien. Coeff d’Agpar de 10. Qui ne pleurait pas. Rose. Bien au chaud contre moi.
Pourquoi aller le tuyauter (gorge, anus), le survitaminer, le collyriser, le peser, le mesurer, l’astiquer, le tester… Pourquoi ? Ca ne leur suffit, pas comme premier traumatisme, de naître, tout simplement ?
Pourquoi n’ont-ils pas vu, pas entendu ? Les cris : « j’ai peur, j'ai mal, MAMAN ! ». Y en a-t-il trop eu, dans cette salle, de ce genre de cri, pour que plus personne n’y fasse attention ?

Simon n’a plus voulu ouvrir la bouche après ça. J’ai eu un début d’allaitement très difficile. Et d’autres choses encore, au niveau du comportement, que je rattache à cet accueil.

Voilà pourquoi, à l’idée de refaire un enfant, je me disais que j’allais refermer les bras sur nous, ce bébé et moi, et mordre quiconque oserait le toucher.


Mon accouchement a été un bel accouchement. Respecté, accompagné.
La naissance de Simon a été une belle naissance sur le coup, mais suivi d’un accueil désastreux.


Je suis sortie heureuse de la maternité. Ce que j’avais vécu m’avait tellement chamboulée, en bien, j’avais tellement adoré cet accouchement que les difficulté de l’allaitement, je ne les ai qu’entr’aperçues. J’allais y arriver. Et effectivement, j’y suis arrivée.
J’ai quand même été en colère pour cette première séparation, et Simon a lui aussi exprimé cette colère, avec ses propres cris de bébé, longtemps. Je suis de plus en plus en colère, en fait. Surtout depuis la naissance de Léna qui elle n’a subi aucun « soin » (un soin sert à soigner, à faire aller mieux, non?)et avec qui j’ai pu comparer.
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MessageSujet: Re: Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg   Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg EmptyJeu 29 Oct - 23:17

Merci margote pour ce partage, c'est un magnifique récit même si sur la fin l'équipe à merdouillé grave, et je te comprend tellement, comme tu le sais moi l'équipe m'a séparé de mon bibou 5 sec après sa naissance et je ne l'ai revus que le lendemain...Crying or Very sad Et je ne m'en remettrais jamais je pense...
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MessageSujet: Re: Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg   Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg EmptyVen 30 Oct - 0:21

Non, on ne s'en remet pas vraiment, je ne crois pas, c'est vrai...
Cela dit on peut expliquer au bébé, plus tard à l'enfant... Se pardonner à soi-même un peu de ne pas s'être battue comme on aurait voulu se battre...
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MessageSujet: Re: Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg   Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg EmptyVen 30 Oct - 3:01

Oui mais enfait je m'en veux beaucoup aussi, je me dis que j'aurais du aller contre la fatigue et les émotions et obliger l'équipe de me laisser au près de mon bébé...Rien que d'y penser j'ai les larmes aux yeux, mon dieu qu'elle à été dure cette nuit, surtout que Paul n'a pu remonter en chambre avec moi...Je suis resté seule, toute la nuit.
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MessageSujet: Re: Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg   Accouchement de Simon, en aout 2003, à Strasbourg EmptyVen 30 Oct - 9:42

Oui, je pensais très fort à toi... Paul m'avait appelée... Et toi tu n'avais pas de téléphone......
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